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Baccalauréat universitaire en science politique

Le cursus vise à assurer une solide formation, nécessaire à la compréhension, à l’analyse et à la conduite de l’action politique et sociale.

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Présentation générale

Le Baccalauréat universitaire en science politique vise à assurer une solide formation nécessaire à la compréhension, à l’analyse et à la conduite de l’action politique et sociale.

Les domaines de la science politique enseignés à la Faculté des SSP sont l’histoire des idées, les politiques publiques, la science politique comparée, la sociologie politique, l'histoire internationale, les relations internationales et les études sur les pays en voie de développement.

La science politique se nourrit également d’un savoir interdisciplinaire, principalement emprunté à la sociologie et à l’histoire, à la philosophie, à l’économie et au droit. Elle recourt aux techniques d’investigation et outils méthodologiques des sciences humaines.

Informations utiles

Organisateur

Faculté des sciences sociales et politiques

Adresse

Faculté des sciences sociales et politiques
Université de Lausanne
Bâtiment Géopolis
CH-1015 Lausanne

Contact

ssp@unil.ch

Grade décerné

Baccalauréat universitaire en science politique
Bachelor of Arts (BA) in Political Science

Crédits ECTS

180

Durée

6 semestres

Langue d'enseignement

Français

Délai d'inscription

30 avril
Si vous devez obtenir un visa pour étudier en Suisse, vous devez déposer votre dossier d'ici au 28 février.

Structure des études

Masters possibles après le Bachelor

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Perspectives professionnelles

Les études à la Faculté des sciences sociales et politiques offrent des plans d’études avec de grandes possibilités d’ouverture. C’est pourquoi les titulaires d’un grade en science politique exercent des activités variées et se retrouvent dans de nombreux secteurs professionnels.

À l’exception de quelques domaines spécialisés qui exigent des diplômes d’une filière en particulier, le contenu de ces activités n’est pas forcément en lien direct avec la discipline étudiée.

Les perspectives professionnelles dépendent en partie du Master choisi.

Secteurs d'activité

  • Recherche dans des organismes publics ou privés, souvent en groupes pluridisciplinaires
  • Administrations publiques ou privées au niveau local, national ou international, organisations intergouvernementales : gestion de projet, coordination, conseil aux autorités
  • Information écrite et audiovisuelle, médias
  • Sondages et études de marché
  • Domaines culturels, par ex. sociétés d'événementiel et maisons d'édition : organisation de manifestations, communication autour d’un événement, gestion d’une institution culturelle, etc.
  • Ressources humaines, marketing, publicité, relations publiques
  • Diplomatie, organisations internationales, organisations sportives internationales
  • Partis politiques, syndicats, lobbies, think tanks nationaux ou internationaux

Exemples de postes occupés

Quelques chiffres

L’Office fédéral de la statistique (OFS) réalise tous les deux ans une enquête sur la situation professionnelle des diplômé·e·s, un an après la fin de leurs études. Consultez en ligne les résultats concernant les diplômé·e·s en science politique:

Grégoire Grob

Grégoire Grob

Gradué, Bachelor en science politique

Et vous, comment avez-vous choisi vos études?

« Ce qui est vraiment bien avec cette formation, c’est qu’elle offre un bagage très large permettant de s’ouvrir à des horizons très divers. »

Étant donné que je me suis politisé assez tôt, notamment au travers de vidéos ou encore des grèves gymnasiales du climat, quand j’ai découvert l’existence de la filière de science politique j’ai décidé de me lancer. Je suis aujourd’hui très content de ce choix ! Ce qui est vraiment bien avec cette formation, c’est qu’elle offre un bagage très large permettant de s’ouvrir à des horizons très divers. Personnellement, j’ai depuis longtemps un intérêt pour les questions d’addiction, et prévois de poursuivre ma formation avec un Master en droit en criminologie et sécurité. Cela donne une idée de la variété de choses que l’on peut faire en sortant de science politique !

On a la chance d’avoir plein d’espaces et d’opportunités pour faire des rencontres à l’Université. Personnellement, j’ai rencontré mon premier ami à Zelig (le bar étudiant du campus) ! C’était chouette, car il était déjà familier avec le monde académique et a donc pu m’aider pour la compréhension de Moodle, des inscriptions aux séminaires, etc. Je conseille aux nouveaux·elles étudiant·e·s de ne pas hésiter à solliciter des pairs plus avancé·e·s ou les associations étudiantes pour obtenir de l’aide. Avoir un groupe d’ami·e·s aide aussi beaucoup pour les examens: cela peut aider à se discipliner, et le fait d’échanger au sujet de la matière étudiée permet d’en avoir une compréhension plus fine. En revanche il faut faire attention à ne pas trop être distrait·e par toutes ces stimulations : il faut s’accrocher dès le début et être régulier·ère dans ses études. Ce qui est particulier pour l’ambiance en science politique, c’est que la plupart des gens sont très politisés. En général, il est assez facile de comprendre qui est de quel côté (rires). Je pense qu’il est important d’être intéressé·e par la politique et les débats pour s’amuser dans ce cursus, ainsi que d’être ouvert·e d’esprit et non-jugeant·e. On a la chance d’avoir plein de séminaires avec des effectifs limités, ce qui permet d’échanger en groupes réduits. Tant que les arguments derrière les idées sont bien construits, les enseignant·e·s accueillent généralement très bien tous les débats qui peuvent émerger !

En science politique, il y a énormément de séminaires avec beaucoup de lectures, qu’il est important de faire. Dans l’idée, il faut environ une heure de travail à la maison pour une heure de cours. C’est un rythme à prendre ! On n’a pas de travail de Bachelor car on rédige déjà énormément durant tout le cursus. Il ne faut pas avoir trop peur des travaux écrits, car on va forcément toujours inclure au moins un élément juste. De plus, étant donné qu’on doit lire énormément, les capacités rédactionnelles se développent naturellement. Je pense qu’il ne faut pas avoir une attente particulière en venant ici, car on y aborde de nombreux sujets dans plein de matières différentes (mais toujours sous un angle politique). On a la chance d’avoir des crédits libres en deuxième année, qui nous permettent de recentrer nos choix. Il n’y a pas de stage imposé, mais on peut faire valoir certains stages comme des crédits libres. Par exemple, j’ai travaillé dans un alpage et souhaitais me servir de cette expérience pour valider des crédits, mais je m’y suis malheureusement pris trop tard au niveau administratif. Je conseille vraiment de bien se renseigner sur toutes les questions admi-nistratives, car on peut vite passer à côté d’opportunités intéressantes. L’Université est une expérience géniale, je pense vraiment que c’est un endroit où tu peux être toi-même !

Échanges et mobilité

Partir en échange universitaire est une expérience unique et très enrichissante, à condition de bien la préparer. La première chose à retenir est qu’il faut s’y prendre bien à l’avance pour débuter les démarches. Par exemple, si vous visez de partir en 3ème année de bachelor, il vous faut au plus tard commencer vos démarches au début de votre 2ème année.

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Sous réserve de modifications. Seuls les textes réglementaires font foi.
Dernière mise à jour: 6 août 2024