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Anke Tresch, professeure associée ad personam à l’Institut d'études politiques, historiques et internationales (IEPHI)
Anke Tresch est titulaire d'une licence et d'un DEA ès sciences politiques de l'Université de Genève. En 2007, elle a obtenu son doctorat en science politique avec la mention summa cum laude à l’Université de Zurich.
Elle a ensuite été Maître assistante à l’Université de Genève (2007-2013), Professeure boursière du Fonds national suisse de la recherche scientifique à l’Université de Lausanne (2014-2017) et Professeure invitée à l’Université de Vienne (2016). Durant cette période, elle a également effectué des séjours en tant que chercheuse invitée à l’Université de Stanford et d’Anvers. Depuis le 1er février 2017, Anke Tresch est cheffe du groupe « Enquêtes politiques » au Centre de compétences suisse en sciences sociales (FORS), où elle dirige l’étude électorale suisse SELECTS et les analyses post-votation VOTO. Parallèlement, elle est nommée Professeure associée ad personam à l’Institut d’études politiques, historiques et internationales à l’Université de Lausanne. A l’UNIL, elle enseigne un séminaire de méthodes quantitatives, portant sur l’analyse des campagnes des candidats aux élections parlementaires en Suisse.
Anke Tresch développe ses recherches au croisement de la science politique et des sciences de la communication et des médias. Ses travaux portent notamment sur la compétition partisane, les campagnes électorales, le vote et la médiatisation du politique. Elle est actuellement co-requérante d’un nouveau projet FNS qui analyse les perceptions des compétences thématiques des partis politiques par les électeurs et électrices en Suisse, et leurs effets sur le vote (2017-2020). Depuis plusieurs années, elle co-dirige le groupe de travail « Représentation et comportement politique » de l’Associations suisse de science politique.
Anke Tresch vise à contribuer au renforcement des liens entre la Faculté et FORS et au développement de la sociologie politique électorale basée sur les grandes enquêtes au sein de l’IEPHI. Dans ce but, elle a contribué à la création en 2017 du nouveau Groupe de Recherche sur les élections et la Citoyenneté Politique (GREC).
